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Amelia Fly

7 mai 2017

Préface au lecteur

Parfois je cherche à me trouver un talent, un passe temps pour canaliser mes rêves, pour atténué mes besoin de magie. UN truc réel que je pourrais exploiter qui m'empècherait de croire en ces histoires. J'ai éssayer de dessiner, de bricoler, de surfer...
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17 mars 2019

Je change !

Salut ! Comme certains d'entre vous on pu le voir à la fin de mon dernier messages, j'arrête d'écrire sur mon blog pour passer sur Wattpad. Je republirai certaines de mes histoires mais pour la plupart ce sera inédit. J'espère que vous ne m'envoudrez pas trop et j'ai hate de vous retrouver sur Wattpad. Vous pourrez me retrouver sous le pseudo de AmeliaFly1905. Mon premier texte, celui que vous avez pu lire dernièrement sur mon blog, "La nouvelle médecine", dont vous pourrez découvrir la fin sur Wattpad.

Un grand merci à vous tous de m'avoir suivi, j'espère vous revoir très vite sur Wattpad !

AméliaFly

13 mars 2019

La Nouvelle Médecine

L'histoire que je vais vous raconter, c'est l'histoire d'une petite fille que j'ai rencontrée il y a quelques années de cela. Et que malheureusement j'ai rencontrée bien trop tard. Elle s'appellait Emilie. Mais puisque je dois vous raconter son histoire, autant commencer par le commencement.

Avant de commencer, je vais quand même me présenter. Je m'appelle Anaëlle Lambert et je suis enseignante chercheuse en biologie. Vous allez sans doute trouver ça stupide mais au début je voulais devenir chirurgienne ou neurologue parce que dans ma famille ont était particulièrement touché par les maladies neurologique. Mais je me suis très vite rendu compte que j'était hémophobe, et ça quand on veut devenir chirurgien ça ne pardonne pas. Finalement, je me suis orientée vers la recherche. Pour rester dans la même voie je voulais étudier et développer des vaccins, mais ça c'est avérer plus difficiles que prévu. Pour finir, je me suis retrouver dans la cosmétisque, c'est à dire bien loin de mon projet de départ. Mais bon l'important c'est de faire quelque chose que l'on aime.

Ne vous inquièté pas, je n'ai pas oublié la petite Emilie. Mais, en réalité, cette histoire commence bien avant la naissance d'Emilie. Quand j'étais encore jeune et passionnée par la médecine, je suivais de près les dernières actualités en matière de vaccins. Il y avait un homme dons les travaux me facsinaient, le docteur Leopold Duval. C'était un imminent chercheur à l'institut Pasteur qui avait déjà trouvés plusieurs vaccins pour des maladies mortelles telle que la nouvelle fièvre jaune apparu dans les années 2040. Malheureusement, aujourd'hui les hommes aussi brillant que lui se font rare. Grâce aux nouvelles technologie, les robots ont pris la place des médecins. Seule certaines opérations ne peuvent pas encore pratiquer par ces robots, c'est pour ça que les études de médecine sont devenues si difficiles. On ne peut pas dire que cela enchante tout le monde, ce nouveau type de médecine est un sujet très controverser. Un exemple très simple, si le robot se base sur des probabilités alors si il y a une complication lors d'une opération il choisira de sauver le patient même si celui-ci ne pourra survivre que quelques jours de plus plutôt que de prendre quelques risques pour le sauver. Mais bien sur les défenseurs des robots médecins passe leur temps à nous rabacher que de toutes façon une tel situation ne peut pas arriver puisque l'état de santé de tout le monde est suivi en permanence grâce à leurs puces.

Vous l'aurez compris, je suis contre cette nouvelle médecine qui met la précieuse vie des hommes entre les mains robotiques de ses programmes informatique. C'est triste, mais aujourd'hui on ne vie plus que pour vivre, chaque choses est pointé comme pouvant apporter la mort. Les gens vivent dans la peur permanente de la mort. Même si l'on peut y voir quelques avantages, comme l'arrêt de la circulation d'armes à feu au Etats-Unis, ou la baisse considérable de consommation de drogues dans le monde. Pour moi, on vivait plus heureux avant.

A cause de cette nouvelle mentalité, les chercheur comme le docteur Duval était souvent assaillit par les journalistes, comme s'il s'agissait de la reine d'Angleterre. On peut comprendre que cela avait le don de les énerver, et par conséquent il fesait très peu de conférence ou autre meeting. Je vous laisse imaginé la galère pour obtenir une place dans l'amphithéatre. Ca fesait déjà longtemps que j'avais abandonner la médecine, mais j'était toujours autant passionnée par les travaux du Docteur Duval, alors quand j'ai enfin eu l'occasion de participer à l'une de ses conférences sur son nouveau vaccin, j'ai sauté sur l'occassion et je n'ai pas hésiter à y mettre plusieurs centaines.

C'était un moment magique d'enfin rencontrer ce génie de la biologie, mais j'ai très vite déchanter avec tout les journalistes autour de moi. Le Docteur Duval n'avait pas l'air heureux d'être là non plus. En même temps, si il fait ça c'est juste pour obtenir des financement pour ses recherches, ça peut paraitre égoïste mais franchement je le comprend, c'est fou ce qu'ils sont oppressant ses journalistes. Au final, je n'ai poser aucune question, et dieu sais que j'en avais, mais je les journalistes étaient vraiment insupportables et j'ai fini par quitter la salle un peu déçu. Avant de partir, j'ai jetée un dernier coup d'oeil vers le Docteur Duval, il n'écoutait même pas les questions des journalistes et continuait tranquillement son spitch. J'ai levée le poing en l'air pour lui souhaiter bonne chance, il ne m'a surement pas vu mais peu importe, la prochaine fois je me contenterais de le suivre sur internet.

Depuis j'ai commencé travailler, j'ai créer quelques soins qui ne revolutionnerons surment pas le monde, mais je m'amuse. J'essaye tout de même de défendre mes idées sur la nouvelle médecine, même si la plupart du temps c'est comme parler à des sourds, et le plus souvent ça plomb l'ambiance. On ne peut pas dire que je me soit fait beaucoup d'amis vu que du coup je refuse tout les soins proposer par la nouvelle médecine je passe pour un virus ambulant.

Depuis la conférence, le Docteur Duval ne démérite pas, mais tout le monde le détestent parce qu'il ne veut plus partager le produit de ses recherches avec le reste du monde. Seul quelques privilégier sur leur lit de mort peuvent espérer avoir accès au soin du Docteur Duval.

Peut être que certain d'être vous ont des doutes et des préjugés concernant le Docteur Duval, mais je peux vous assurer que quoique les gens lui fasse subir il n'aurait jamais abandonner une vie humaine qu'il savait pouvoir soigner.

Peut à peut on n'a plus entendu parler du Docteur Duval. D'autre médecin ont pris ça place sur le devant de la scène médicale. Il y a eu quelques bon médecins parmi eux, mais bon ils jouaient tous le jeux des médias et finissaient par faire plus de publicité que de recherche. C'est surement à ce moment là que je me suis completement désinteresser de la médecine.

Et puis un jour ... le 19 mai 2046, pour être exacte, un évènement des plus déconcertant c'est produit. Ce samedi là, à Lyon, un jeune garçon d'une quinzaine d'année est mort. La nouvelle médecine garantissait à tous un vie longue et prospère, mais ce jeune homme est mort. Tout les médecins affirme qu'il n'était atteint d'aucune maladie, qu'il n'avait pris aucune substance, rien. Et pourtant, ce matin là, il était tombé raide mort en plein milieu de la rue alors qu'il sortait avec ses amis. La nouvelle à fait le tour du monde, la nouvelle médecine venait d'être grandement remise en cause. Mais personne, pas même moi n'était enchanté à cette idée. Si il existait un nouveau virus encore indétectable qui pouvait nous tuer sans prévenir, alors tout le monde allait très vite sédez à la panique.

Personne ne savait quoi faire, les gens n'allait plus au travail, ne mangeait presque plus et restait cloitré chez eux. Les médecins fesait des recherches, par tout on voyait des robots et des hommes en combinaison anti-contamination se balader dans la rue pour récolter des échantillons. Des quartier entier avait été évacué alors que personne ne savait vraiment qu'elle zone était contaminée. Alors j'ai fait comme la plupart des gens et je suis parti. Le problème c'est que pour chercher un logement après c'est difficiles. dès que tu dit que tu viens de Lyon, on a peur de toi et on te claque la porte au nez. On se regroupait en camps, tel des réfugiés dans leurs propre pays.

Heureusement pour moi, j'ai appris après une semaine passez dans la rue, que des amis à moi avait un chalet dans la montagne, on s'entassait déjà à dix mais on était tous de Lyon donc on se serrait les coudes. J'ai eu quelques difficultés à rejoindre le chalet. Il était perdu au milieu d'une forêt au bout d'une petite route après la dernière station de ski. C'est ici, que je l'ai rencontré pour la première fois. Je venais d'arriver à la station de ski et je m'appretais a prendre la petite route avec ma valise, quand je l'ai vu. La nuit commençait a tombé, elle était debout sur le bord du trottoir, toute seule. Ce qui m'étonnait le plus c'est qu'elle était habillé de la tête aux pieds, pas un seul petit bout de peau ne dépassait. Il ne fesait pourtant pas si froid ? D'accord, nous étions en haute montagne, mais c'était l'été tout de même.

Je me suis approché d'elle, je voulais m'assurer que tout allait bien, après tout elle était seule. Elle était très calme. Quand je lui ai adressé la parole elle s'est calmement tourné vers moi et a poussé son écharpe pour que je puisse voir son visage. Elle m'a dit qu'elle attendait son papa, qu'il était parti en vacances dans la montagne juste tout les deux, et que sa mère les rejoindrais bientôt. Sachant ce qui venait de se passer, je doute que c'est vacances n'est été planifié à l'avance, quant à la mère je ne savait pas trop quoi en penser. J'ai discuté quelques instants avec la petite Emilie en attendant que son père ne revienne. J'ai vite compris qu'entre ses parents se n'était pas le bonheur fou. Peut être ne reverra-t-elle jamais sa mère, mais je préfère ne pas m'en mêler, son père sera surement très bien lui dire les choses. Même si ce n'est pas très responsable de sa part de laissé sa fille seule dehors alors que la nuit tombe. Emilie n'est jamais allée à l'école, son père s'inquietait beaucoup pour sa santé et la laissait pas souvent sortir. Néanmoins elle avait beaucoup d'animaux de compagnie et un très grand jardin, donc elle ne s'ennuyait jamais. Et puis de nos jours les enfants savent déjà très bien utiliser internet, et parmi les partisans de la nouvelle médecine, certains avait telement peur de la mort qui soit disant les guétait dehors qu'il ne laissait pas leur enfants sortir de la maison. Enfin tout de même c'est un peu extrême. Quoiqu'il en soit, je cromprend mieux l'enthousiasme d'Emilie, ce doit être la première fois qu'elle sort de chez elle.

Après ce fut à moi de lui raconter ma vie, au debut elle a eu l'air très ennuyée. Je ne pouvais pas lui en vouloir, vous en conviendrez, ma vie n'est pas très palpitante. Mais dès que j'ai commencé à lui parlé du Docteur Duval, son visage s'est illuminé. Tout naturellement je lui ai demandé si elle connaissait le docteur Duval, mais elle ne m'a pas répondu. Quelques minutes plus tard alors que la nuit était tombé, une jeune femme est venu chercher Emilie. J'ai d'abord cru que c'était sa mère, mais Emilie lui parlais plus comme à une tante. En effet ce n'était pas sa mère. Elle parti avec Emilie, en me remerciant de lui avoir tenu compagnie.

Finalement je n'ai pas passé plus d'une semaine dans le chalet. En ses temps difficiles pour la recherche, tout les scientifiques qui le voulait était invité à participer aux recherches. Même si les plus peureux restait caché, la plupart était mobilisé. Tout était analyser dans les moindres détails, y compris les produits cosmétiques, raison pour laquelle on m'avait rappelé sur Lyon en m'offrant un logement et une pension. J'était très étonnée qu'on en fasse autant pour la mort d'un seul garçon. Même si c'est un évènement tragique, des personnes meurent tout les jours. Dans le passé on n'en fesait pas autant quand on ne connaissait pas la cause du décès. Mais dès que je suis arrivée sur place, on m'a prise a part avec les autres chefs d'équipes pour nous mettre dans la confidence. On ne voulais pas que la nouvelle s'ébruite donc l'information était classé confidentielle, mais pour éviter les questions on avait choisi de prévenir les chefs des équipes de recherche de chaque domaine de recherche. Par conséquent, il avait choisi les chefs d'équipes plutôt pour leurs discrétion et leurs ouverture d'esprits que pour leurs capacité intellectuelles. Ce qui explique pourquoi j'avais été choisi. En réalité, le jeune garçon n'était pas la première victime de cet étrange virus. Une femme était morte de la même façon un mois plutôt, mais elle était alors chez elle, et l'histoire à pu être passé sous silence. Mais ce n'était pas tout. Comme je vous l'ai dit, après la mort du jeune garçon, beaucoup de gens sont rester cloitrés chez eux de peur d'attrapper ce nouveau virus. Vingt personne avait déjà été retrouver morte chez elle. Un nouveau programme avait été implanté dans les robots legistes qui, si la cause de la mort était indéterminée donnait un diagnostique bidon et envoyait directement le corps au équipe de recherche.

La nouvelle nous a tous beaucoup surpris. Mais il était indispensable de garder ça pour nous. Déjà que l'on manquait de personnel, il ne fallait pas les faire fuir. J'ai donc diriger mon équipe du mieux que j'ai pu, me fesant d'ailleurs époler par quelques collègue plus expérimenter, je délèguais souvent le travail, mais j'était la seule personne acceper aux réunions générales. Même si la plupart de mes collègues proche avait compris que l'ampleur de la situation était bien plus grande que ce qu'on les laissait voir.

Après plusieurs mois de recherche, on n'avait toujours rien trouvé. Les corps avait commencé a s'entasser en masse, et même si on n'en parlais nul par dans les journaux le monde entier savait que ce virus pouvait toucher n'importe lequel d'entre nous à n'importe quel moment. Les réunions générales se ressemblaient toutes : chaque équipe annonçait avec lassitude et désespoir qu'elle n'avait rien découvert, et on se passait les info des victimes de la semaine. On était déjà en novembre, cette année l'hiver était particulièrement froid, et alors que je sortais du batiment de recherche pour me rendre à la reunion générale, je repensa à la petite Emilie que j'avais rencontré au début de l'été. J'aurai du lui demander son nom de famille, si jamais son père ou sa tante est mort à cause de l'épidémie, la pauvre à du se retrouver toute seule. La reunion commença. Chacun fit son petit spitch habituel, puis l'on commença a passer les photos des victimes de la semaine. Ce n'était pas un moment très agréable, personne n'écoutait vraiment, on se sentait tous impuissant. Mais cet fois-ci, un nom à attirer mon attention. On avait prononcé le nom du Docteur Duval. Non bien sur ce n'était pas lui qui était mort, mais quelqu'un qui avait travailler pour lui, son assistante pour être exacte. Intriguer j'ai levée la tête pour voir le visage de la jeune femme. Elle ressemblais trait pour trait à la tante d'Emilie, mais non s'était bien elle. Intérompant le train-train quotidient je demanda si elle avait des enfants ou des frères et soeurs. Mais non, à part ses parents elle n'avait pas de famille. Ayant intriguer mes collègue je leur raconte ma rencontre avec la jeune Emilie, et le moment ou l'assistante vient la chercher. Un des médecin de l'assemblé me contredit, disant qu'il n'y a jamais eu de femme autre que son assistante dans l'entourage du Docteur Duval. Je ne pouvais pas trop renchérir, je ne connais rien de la vie privée du Docteur Duval, même si je doute que cet homme en sache beaucoup plus que moi, alors je me taît et les reunion poursuit son cours.

La semaine suivante, on apprend la mort du Docteur Leopold Duval. Malgrès cet horrible sentiment de fatalité, les recherches continues. J'ai été retrogradée. Puisque maintenant tout le monde sait, ma place en tant que chef d'équipe n'avait plus aucun sens. Un nouveau programme est lancé au sein de l'équipe de recherche, le programme Vacances. Chacun à leur tour, chaque scientifique de chaque équipe est envoyé en vacances forcés pour réaliser nos dernières volonter avant la mort. Depuis, quelques temps déjà, des mort ont été constaté parmi l'équipe de recherche. Le virus se propage. Alors pour éviter qu'encore plus de personne n'abandonne, il nous offre ses vacances forcés. Le problème c'est que beaucoup ne reviennent pas. Je fut parmi l'un des dernier groupe à partir, enfin partir c'est un bien grand mots. On avait tout juste assez d'argent pour vivre et l'Etat ne pouvait plus se permettre aucune dépense.

La ville était complètement morte. A Lyon, 30% de la population avait été victime du virus. 5% de la population en Europe. Et au total, plus de 10% de la population mondiale. Personne n'était à l'abri.

Ne sachant pas vraiment où allé, je décide d'aller en montagne. Alors j'embarque quelques affaires et assez de baterrie pour faire l'aller-retour en voiture. Même si au fond de moi je ne sais même pas si je reviendrai. Je me suis retrouvée à la même station de ski que la fois où j'ai rencontré Emilie. La station était abandonnée. Le primtemps pointait à nouveau le bout de son nez, alors je decida d'aller marcher un peu.

J'arriva su un plateau. Le soleil brillait, il était presque midi. Les fleurs étaient magnifiques, le vent dans mes cheveux, le soleil sur ma peau. Pour la première fois depuis longtemps j'avais l'impression de vivre. Je m'allonga dans l'herbe et fit une petite sieste.

Je fut reveillée quelque temps plus tard par un cerf qui passait par là et qui avait commencé à me lécher la jambe. Mais en me redressant je le fit fuir. C'est alors que je pensa à quelque chose : les animaux étaient-ils touché par le fameux virus. Pris de cet éclair de génie, je rentre à la station et appelle le centre de recherche. Depuis le début on recherche un facteur externe, quelque chose qui nous a rendu "malade" mais si ce virus était déjà dans notre organisme, comme inactivé. Si les animaux ne reagisse à aucune de nos expérience c'est par ce que le virus se retrouve chez l'homme uniquement.

Peu convaincu par mes nouvelles idées, on me raccroche au nez, soit disant on y avait déjà pensé. C'est probable en effet, mais alors pourquoi avons nous continué les test sur les animaux. Désespérer, je regarde par le fenêtre de mon studio - ou devrait-je dire mon squat. On peut voir l'arrêt de bus ou j'ai rencontré Emilie. C'est fou, j'ai tellement envie de la revoir pour être sur qu'elle va bien, que j'ai l'impression de la voir encore a côté de l'arrêt de bus.

Mais si ! C'est elle ! Je ne sais toujours pas trpo si ce que j'ai vu était réel mais je suis persuader d'avoir vu la petite Emilie debout a côté de l'arrêt de bus. Mais quand j'arrive sur place, personne. C'était donc un rêve... "Madame Lambert ?", suprise je fais volte face. C'était bien la petite Emilie !

J'était si heureuse de la revoir. Je pense qu'elle n'a pas très bien compris ma réaction (et moi non plus d'ailleurs) mais tant pis. Je l'ai ramené dans mon studio. Nous avons mangé et comme il se fesait tard nous sommes tout de suite allez nous coucher.

 A suivre ...

sur Wattpad ;)

22 janvier 2019

Elisa Morel (5)

 "Elisa !"

Je fut reveiller par la voix d'Antoine. Il était penché sur moi l'air inquiet.

"Elisa, ça va ?"

"Merveilleusement bien, oui !" lui dis-je en souriant, un vrai sourir cette fois.

"Mais tu pleure ? Je croyais que tu fesais encore un cauchemar."

"J'était morte de trouille, c'est vrai." lui avouais-je un peu génée.

"Je ne cromprend pas."

Je vois bien que tu ne comprend pas mon coeur mais pas sur que si je t'explique tu comprendra mieux. Surement qu'il va me prendre pour une folle. Mais pour une fois que je ne suis pas triste, j'ai envie de partager ça avec lui.

 "J'ai vu une créature fantastique comme on en voit dans ses films. Elle fesait la taille d'une maison, comme celle que tu avait avant. Elle avait une fine peau blanche, recouverte d'un fin duvet de la même couleur. Son corps élancé se terminait par une longue queue, aussi belle et délicate qu'une plume. Au début, je ne voyais pas sa tête, la blancheur de sa peau reflétait les rayons du soleil et m'éblouissait. Puis elle m'a regardé, je voyais ses yeux noir brillant resortir sur l'éclatante blancheur de son corps. Elle ne bougeait pas. Et puis, elle a brusquement tourné la tête comme si on venait de l'appeller. Son museau a caché le soleil un fraction de seconde. Un fraction de seconde pendant laquelle j'ai pu admirer son immense tête encore nu. Un long museau avec deux tres fines fentes pour seul narine. Sa gueule était restée fermée. A la base de sa tête commençait le duvet qui recouvrait son corps, et je pu clairement voir pointer deux petite cornes. Elle était majestueuse. Ca n'a duré que très peu de temps mais cela m'avais suffit. Et puis, juste après ce qui m'avait sembler être quelqu'un qui l'appellait, elle se redressa comme pour ce grandir. Un mystérieux voile me cacha quelques instant la vu de cet animal surnaturel. Le voile se retira presque aussitôt mais je ne voyait déjà plus que sa queue. Ses ailes étaient si fines que je les avait a peine remarquer. C'était magnifique."

"Woauh ! Eh bien tu ne manque pas d'imagination ! Mais je suis rassuré."

"En faite, je ne l'ai pas vraiment imaginé..."

"De quoi tu parle ?"

"Je pense que ce que j'ai vu c'est une de ses créatures qui vit au dessus de nos tête."

"Ne dit pas de bétise voyons ! Tu n'est ni devin, ni voyante, désolé de te l'apprendre."

"Mais non ! Je ne suis pas stupide. Mais ... Je ne t'ai jamais vraiment raconté comment ça c'était passé ce jour là..."

"Tu n'est pas obligé tu sais."

"Si il le faut. J'était tellement omnubilé par ce qui était arrivé à mon père que j'avais même oublié ce qui c'était vraiment passé."

"Tu veux dire que tu l'a vu ? Enfin... que tu en a vu une ?!"

"Oui, quand on se dirigeait vers la cave avec ma mère et ma soeur, il y a eu une puissance secousse. Le plafond s'était éfondré, ma mère et ma soeur avait déjà fuit, mais j'ai jeté un dernier regard en arrière en espérant voir mon père, et ... Et c'est là que je l'ai vu."

Antoine n'en croyait pas ces yeux, je ne sais pas si c'était positif ou si il avait peur, mais il n'a pas dit mots.

"Ca va mon coeur ?"

"Oui, c'est juste que c'est très étrange."

"Tu ne crois pas que ce que j'ai vu sois l'un d'entre eux, je peux comprendre tu sais."

"Non c'est pas ça. Je te crois sur parole, mais... On parle d'eux comme des monstres sanguinire, invincible, de redoutable monstre de ténèbres. Et la tu viens de me decrire cette créature comme sorti d'un rêve."

"C'est un peu le cas en même temps.."

"Oui mais c'était beau. J'avais l'impression que cette créature sortait d'un paradis fantaisiste avec des fées, des satyres et tout."

"C'est vrai que je ne m'attendais pas à ça non plus."

Depuis que j'ai fais ce rêve mes journée sont plus belles, plus agréable à vivre surtout. Mais une chose me tracasse. Depuis que je sais à quoi ressemble ses créatures, depuis que j'ai pu entreaperçevoir leur caractère inoffensif, je n'aime pas l'idée que des politiciens et autres armée s'acharne à essayer de les détruirent.

Antoine n'a pas l'air aussi enthousiasme que moi, mais au moins il a l'air d'avoir retrouvé un peu d'espoir. Je n'ai parlé a personne d'autre de ce que j'aivais vu. Même si j'ai très envie de leurs redonner espoir je me rend bien compte qu'il y a beaucoups trop d'inconnues. Je ne voudrais pas me retrouver responsable de la mort de personnes qui auraient cru avevuglément à mes propos. Disons aussi et surtout que je n'ai pas non plus envie de passer pour une illuminée.

Si seulement mon père était encore là, lui il me comprendrait. Mais je ne me plaind pas, beaucoups de monde à perdu un être cher à cause de ses créatures, et au moins j'ai Antoine. Je pense que je le déroute plus qu'autre chose avec mes histoires, mais je ne pouvait pas garder ça pour moi toute seule. J'ai vraiment de la chance de l'avoir.

"Elisa ?"

"Oui ?"

"Je me posais une question, au sujet de ton père."

"Vas-y, je t'écoute."

"Si ces créatures sont aussi belles que tu me les a décrites, Tu ne pense pas que la facsination de ton père pour ces créatures pourrait venir de là ?"

"Si bien sûr, mais pour cela il faudrait seulement qu'il est pu en voir une."

"Tu pense que ce n'est pas possible ?"

"Je pense surtout que si il en avait vu une ça aurait sûrement grandement aidé ses recherches. Et puis surtout il n'aurai pas hésité à s'en vanter, lui n'avait pas peur de passer pour un illumuné."

20 janvier 2019

Elisa Morel (4)

 Je crois que je ne me suis jamais senti aussi vide. Il est parti. Comme ça. Il m'a laissé seule. Seule face à ce monde en ruine. Il a disparu avec le peu de joie qui remplissait encore mes journée. Au mon dieu, Papa ! Pourquoi ! Pourquoi tu es parti !

Et moi qui croyait que ma vie autrefois si heureuse ne pouvait pas devenir plus malheureuse encore. Je n'ai pas voulu partir avec ma mère. Je savais que ça lui briserai le coeur. Mais je ne lui en veux pas pour ce qui c'est passé, je sais à quel point il était difficile de comprendre mon père, et quel point la situation devait la strésser. Je ne me fait pas de soucis pour elle. Ma soeur est avec elle et je sais qu'elle retrouveras vite son assurance. Quant-à-moi, je ne perd pas espoir. Je vais continuer mes études à Lyon. Maintenant que j'ai droit aux rations, le seul argent qu'il nous reste ce sont les maigres économie de mes parents, il ne faut surtout pas que je les gâche. Une fois mon diplôme en poche, je pourrais trouver un travail digne de se nom pour que mamère et ma soeur puivent vivre sereinement.

Mais ...

J'ai beau essayer ...

Essayer de me convaincre que c'est la seule chose à faire...

Je ne peux pas le laisser partir...

"Elisa ?"

La voix d'Antoine m'a d'un coup tiré de mes pensées. En se moment je n'arrive plus à me concentrer sur rien. Je ne l'ai même pas entendus arrivé.

"Pardon... J'étais encore dans la lune, tu disais ?"

"Rien, Elisa... Je n'ai rien dit... Mais tu m'inquiète..."

"Tu n'a pas as t'inquièter, tout va bien." dis-je en esquissant un sourir.

"Elisa, ton père est mort ! Comment est ce que tu pourrais aller bien ?"

"Ca va bientôt faire un mois tu sais..."

"Oui je sais... mais je sais aussi que tu tenais beaucoup à lui. Et même si tu n'as rien dit je sais que ça t'as profondément bléssé de ne pas pouvoir l'enterer..."

Je n'ai pas dit mot. Tout était stricte vérité. C'était pour moi une insulte à sa mémoire que de le laissé là-bas, mais tout ce qui les intérraissaient c'était ses études ! Et même pour ça ils n'ont pas eu le courage d'y retourner ! Il aurai pu envoyer un drône ou je ne sais quoi !

Les larmes se mirent-à couler d'elle-même. J'en ais marre ! Marre de pleurer. Marre d'être triste. J'ai l'impression d'être devenue comme cette masse de gens qui avance sans but dans les souterrain pour se rendre au travail.

Il m'a pris dans ses bras. Encore une fois, j'ai pleurer toutes les larmes de mon corps. C'est plus fort que moi, je n'arrive pas à y faire face.

Je ne dors plus beaucoups ses derniers temps. A chaque fois, que je ferme les yeux je revoit mon père. A chaque fois j'espère que se serra la dernière fois, parce que c'est trop dur de se reveiller après en pensant qu'il est toujours là. Cette fois-ci je n'ai pas pu resister... Cest horrible ce qu la tristesse, et le dessepoir peuvent nous rendre faible.

***

Je me reveille tranquilement... Je n'ai pas fait de cauchemar cette fois.

Antoine est à côté de moi. C'est fou ce qu'il est mignon quand il dort. Même avec sa petite barbe mal taillée et ses cheveux qui pique dans tout les sens. Je me suis encore endormie sur son épaule, j'espère qu'il n'a pas eu trop mal, il est si mince... Enfin si il a reussi à s'endormir c'est que ca devait aller. Je n'ai pas envie de le reveiller. Je dois tellement l'embêter avec mes problème en se moment, il vaut mieux que je le laisse dormir.

Souvent je me demande comment un garçon aussi adorable que lui à pu tomber amoureux de moi. Et dire qu'au début je n'ai rien vu. C'est vrai, quoi ! Même moi je me trouve insupportable ! Je passe mon temps a me plaindre pour un rien alors que ma vie est presque parfaite...

Heureusement qu'il est là pour me soutenir. Depuis qu'Alix a rejoint sa famille en Guadeloupe et que Valentine a quitté la prépa, je me sens un peu seule. Mais Antoine est incroyable ! Galant, amical, drôle et toujours à l'écoute... Je ne sais pas comment il fait... Il me donne tellement... J'aimerais pouvoir lui en donner plus, lui montrer à quel point mon amour pour lui est immense. Mais je n'ai jamais été très douée pour exposer mes sentiments. Je ne suis bonne qu'à recevoir. Quel égoïste je fais !

Il ne se reveille toujours pas... Pourtant le soleil est déjà levé depuis un bon moment.

Attend ?! Le soleil ?!

Mais oui ! La fenêtre de sa chambre n'est pas barriquadée, et les volets ne sont même pas fermés. Le soleil rentre dans la chambre et rechauffe la pièce. On voit la poussière qui vole, comme des petites paillettes elle est éclairé par cette lumière presque iréel.

Peut être que toute cette histoire n'était qu'un mauvais rêve ...

Je sens qu'une larmes coule sur ma joue. Pourtant je ne suis pas triste... Je sais que c'est un rêve et que bientôt cette fenêtre sera de nouveau barriquader. Mais j'ai envie de profiter de se moment. J'ai l'impression que ça fait tellement longtemps que je ne l'ai pas vu. 

Je ne peux pas m'en empêcher. Il faut que j'aille voir par le fenêtre. Avec un peu de chance peut être pourrai je apercevoir un arbre ou deux, un peu de verdure. Est ce que je pourrais voir le bleu du ciel ?

Je me leve doucement. Le sol est froid sous mes pieds, mais des que je pose le pied là où le soleil éclaire, je sens une douce chaleur m'envahir. J'avais oublié à quel point c'était agréable... Je suis encore éblouie par le soleil, si je veux voir quelque chose, il faut que je me rapproche... Mes yeux me piquent, ça fait bien trop longtemps qu'ils n'ont pas reçu autant de lumière. Encore un peu...

Ca y est ! Mais ?! Qu'est ce que ..?!

C'est ... Elle est ... Cette chose ... Cette créature si majestueuse, puissante. Ses yeux sont d'un noir si profond. Un ange de la mort.

Papa ... Toi qui était tant fasciné par ses créatures, en a tu seulement déjà vu une ? J'espère de tout coeur, mon cher Papa, qu'avant que tu ne quitte ce monde tu as pu admirer ce manifique spectacle.

 

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18 janvier 2019

Elisa Morel (3)

 "On ne peux pas vivre ici ! C'est endroit aurai déjà du être detruit depuis longtemps ! Tu vas finir par tous nous tuer avec tes idées folle"

"Du calme mon amour... Je ssais que tu n'aime pas la situation actuelle mais nous n'avons pas d'autre choix..."

"Dit plutôt que tu ne veux pas en voir d'autre ! Ca fait d'années que tu ne parle plus à ton frère, mais regarde aujourd'hui ! Il n'en port plus rancune, il nous propose même d'aller vivre chez lui. J e pourrais retrouver du travail à l'accart de la ville."

"Ah oui ?! Parce que c'est a cause de moi, que mon frère est parti ? Il est parti tout seul ! Il ne voulais pas accepter les choix que nous avons fait !"

"Ca suffit ! Laisse ses vieilles histoire de côté ! C'est l'avenir de nos filles qui est en jeu ! Y pense tu seulement !"

"Et tu crois que je fais tous ça pour qui ?"

"Parce que tu crois qu'en connaissant ses bêtes nous pourrons en venir à bout ? Tes recherches sont au point mort, les autres scientifiques ont déjà abandonnés, si l restent c'est seulement pou t'éviter de faire des bétises."

"Je le sais pertinement, merci... mais tu crois vraiment que je fais tous ça dans l'espoir de pouvoir les tuer un jour ?"

"De quoi parle tu ? A quoi d'autre pourrait-elle te servir ?"

"Ne sais tu pas qu'un missile nucléaire à déjà été lancé sur l'un d'eux ?"

"Oui, je le sais ça. Et il en est mort d'ailleurs, le seul problème c'est que ses missiles détruiront notre environnement par la même occasion, et ..."

"C'est faux."

"Hein ?! Qu'est ce qui est faux ?"

"C'est faux. Il n'est pas mort."

"Tu dit des bétises ! Bien sûr que si il est mort il en ont parlé pendant des jours aux infos..."

"Je te dis que c'est faux. En tant que scientifique j'ai acces à tout les résultats de tout les tests qui ont été pratiquer sur ses monstres."

"Je ne cromprend pas... Pourquoi ..."

"Pour maintenir un peu d'espoir... La vérité c'est que le gouvernement ne peux absolument rien. Personne ne peut rien y faire pour l'instant."

"Mais c'est horrible..."

J'entendis ma mère fondre en larmes. Elle qui était si fortes d'habitude... Je crois que c'est la première fois que je l'entend pleurer comme ça. D'habitude se sont plutôt des larmes de joie, ou de soulagement. C'est horrible de voir que même les personnes d'habitude si fortes et sur d'elles, s'éfondrer quand ils font face à la mort.

"Ma chéri regarde moi et écoute moi bien."

Ma mère se calma un peu.

"Tout espoir n'est pas perdu."

"Tu as découvert quelque chose ? Je croiyais que personne ne pouvais rien ..."

"Pour l'instant, oui."

"Je ne comprend pas..."

"J'ai en effet fait une découverte que j'ai pour l'instant caché au grand public, mais c'était il y a 20 ans de cela."

"Ne me dit pas que ..."

"Si. Je pense qu'elle est la solution."

Il y a eu grand silence. Je ne sais pas du tout de quoi il parle, il y a 20 ans je n'étais pas encore né. Peut être cela a-t-il avoir avec ce première enfant qu'a perdu ma mère, mais ça m'étonnerai, je ne vois pas quel genre de rapport ses deux évènement pourrait avoir entre eux. Ma mère a arrêter de pleurer. J'ai l'impression que ça va mieux maintenant. Tant mieux, je n'aime pas les voir ...

"ESPECE DE MONSTRE !!! TU COMPTE LA DONNER EN PATURE A SES CHOSES !!! COMMENT OSE TU ! JE NE LE PERMETTRAIT JAMAIS !"

"Ma chérie je t'en suplie ...

Mais ma mère crit tellement fort que je n'arrive plus à distinguer ce que dit mon père. Et moi qui croyais que tout allait mieux, j'avais oublié qu'après le calme viens la tempête. La connaissant, il va lui falloir un bon moment pour ce calmer. Le seul problème ...

Trop tard ! Papa venait d'attraper maman pour la faire taire mais le sol tremblait déjà. C'est vrai qu'on ne sait pas grand choses sur ces créatures mais si il y a bien une chose que l'on sais c'est que leur sens son super développer : la vue, l'odorat, mais aussi et surtout l'ouïe.

Immédiatement ma soeur c'était levé et nous nous dirigions vers la porte d'entrer pour rejoindre la cave. Nous nous engagions dans l'escalier qui menait à la cave alors que le sol tremblait encore sous nos pied. Mais avant d'atteindre la cave, un rugissement assourdissant retantit et le sol tremblat de plus belle. Nous avon été projetté au sol, et notre mère qui nous suivait nous tomba dessus en dévalant les escalier. Mais ce n'était pas le moment de pleurnicher...

Une lumière aveuglant nous éblouis, dans la panique ma soeur et ma mère se relevèrent pour partir en courant vers la cave...

Le soleil ... et moi qui croyait qu'a cette heure-ci il devait déjà faire nuit noire dehors. Cette si belle image, s naturelle, me remplis tellement de bonheur que j'en oubliait presque le sol qui tremblait sous mes pieds.

Ca ne dura qu'une fraction de secondes, avant qu'une autre image ne se devoile à mes yeux.

 

15 janvier 2019

Elisa Morel (2)

Depuis que ses montres on envahit notre monde, nous les humains nous vivont caché, comme des taupes. Les bus et les trains ne fonctionnent plus, seules les métros fonctionnes. Maintenant tout le monde entre et sort des batiment par des souterrains préquaires. toutes les fenêtres et les portes donnant sur l'extérieur son barriquader. on vit dans le noir et dans la peur.

Ses monstres ont des organismes à toutes épreuves, ils ne craignent pas la pollution de l'air, ni celles des eaux. Et de toutes façon depuis que toutes activiyé humaine a céssé à la surface, l'environnement ne devient que plus propice à leur épanouissement.

On ne sais que treès peu de choses sur ses montres. D'abord, ils vollent, c'est indégniable. Quand il sont arrivés sur la ville, toute ceux qui était a decouvert on été emporté, on ne sais où. Mais sait tous qu'il ne font déjà plus parti de ce monde.

Depuis ce jour, je n'ai plus revu le soleil, ni la lune, ni les étoiles. La couleur du ciel est devenu un souvenir lointain. Je regrette de ne pas l'avoir admirer plus souvent quand je le pouvais encore. C'est à dire que je ne pensais pas qu'un jour ne ne pourrais plus le voir.

"Hey ! Elisa je te parle ! Tu as encore la tête dans les nuages !"

"Disons plutôt dans les étoiles, mais pardon tu disais ?"

"Ah la la ... Tu ne changeras jamais. Du coup, pour l'anniversaire de Loïc, ça te va si on se cotise pour lui offrir une place pour le concert de Symphony X ?"

"Oui, bien sur, ça changera des jeux video"

"Ouais et puis au pire si il en a deux ce sera pas une perte."

"Tu pense qu'il aura le courage d'inviter Lucie a un cooncert de métal ? Pas sur qu ce soit son genre de musique, mais bon."

"Non je pense pas, il faudrait déjà qu'il est le courage de l'inviter a déjeuner."

"Il n'a pas eu la même chance que toi."

"C'est vrai ... J'oubliais presque que appart chez lui, il n'a nul part ou l'emmener."

"Hm... Au faite, mes parents t'invite a dejeuner demain midi."

"C'est vrai qu'on a fait que es croiser la dernière fois, pourquoi pas, mais il faut que j'en parle a mes parents..."

"Il sont très curieux de te rencontrer mais si tes parents ne veulent pas ce n'est pas grave. Je peux comprendre qu'il ne veulent pas que leur fils s'aventure dans la zone risque alors qu'ils ont une maison en zone sur."

"C'est vrai, mais c'est plutôt moi qui devrait m'inquiéter pour toi. Moi je n'y passerai que quelques heures alors que toi tu dors là bas tous les soirs."

"Tu n'as pas a t'inquiéter nous sommes parfaitement concsient et équiper contre les risques."

"Ouais mais même. Tu vis quand même sous le nid dune de ses choses ! Pourquoi tes parents ne veulent pas démménager."

"Tu sais que comme beaucoup de personne, ma mère a perdu son travail. Nous n'avons plus beaucoups d'argent, et si ses choses sont encore la l'anné prochaine je ne pourrais peut être pas faire ma deuxième année de prépa. Ca nous reviendrai trop cher. Pour l'instant, ce sont les économies de mes parents qui paye la prépa, mais tôt ou tard elle seront bientôt épuiser"

"Mais enfin aujourd'hui, ça ne coute rien de démménager. Je ne comprend toujours pas pourquoi vous resté."

"Mon père est zoologue, Antoine. Tu sais très bien que tout les scientifiques de la ville on été appeler à etudier ses monstres. Si on reste là bas c'est justement parce que le nid est là et que mon père peut enregistrer tout ces faits et gestes. Le coût pour les trajet que devria tfaire mon père serait trop important pour le peut d'argent qu'il arrive a ramené à la maison."

"Je suis désolé, j'avais oublié que parce que ton père travaillais vous ne receviez pas de ration gratuites"

"Ce n'est rien, je comprend on a tous beaucoups de choses a gérer en ce moment."

"Moi je ne trouve pas ça normal. Avant tout allait bien, et je pouvais toujours être au près de toi. Je t'emmenais au cinéma et au resto. On rigolait bien. Et maintenant que tous ça est fini je n'ai qu'une crainte c'est de te perdre."

"Viens par là" dis-je en lui tendant les bras pour que je l'embrasse "Je te promet que tout ira bien. mon père tiens à nous au moins tout autant que toi tu tiens à moi. Si il repère le moindre danger, la moindre anomalie dans leurs comportement, il nous envoie toutes le trois à la cave."

"Fait attention tout de même."

"C'est promis."

C'est fou ça depuis que ses choses sont arrivés plus personne ne rit, tout le monde s'inquiete, tout le monde à peur. Si bien que l'on ne parle que de ça. Tout le monde pense pareil, tout le monde fait la même tête de détérré.Chaque journée que je passe à la prépa me déprime un peu plus. Et puis le soir je rentre à la maison et je me plait a comtempler mon père travailler comme un scientifique fou amoureux de sa nouvelle découverte. Avec lui cette chose qui vit au dessus de nos tête n'est plus sources de soucis. C'est devenus quelque chose d'extraordinaire et d'époustouflant. Mais je sen sbien que je suis la seule a comprendre son enthousiasme, ses collègues scientifique ne prête plus attention à lui, et ma mère le menace depuis longtemps de paritr vivre chez son frère.

Cette nuit-là je me suis couché tard pour réviser un devoir, et j'ai surpris, malgrés moi, une dispute entre mes parents.

13 janvier 2019

Elisa Morel (1)

On entendait déjà ses pleures dans tout le couloir de la maternité. La joie de chaque mère s'était éffacé laissant place a la conpassion et au soulagement de voir que cela ne leur était pas arrivée à elle. Les hommes ne peuvent pas comprendre se sentiment, porter un enfant c'est surement le rêve de toute femme, mais si la plupart du temps elle ne s'en rend pas compte. Donner la vie, c'est un chose magique qui mérite toute les souffrances du monde. On dit souvent qu'une vie n'a pas de prix, voila pourquoi lorsqu'on perd un enfant on sais que jamais rien au monde ne pourras le remplacer. Et la perspective d'essayer une nouvelle fois, d'échouer une nouvelle fois nous paralyse. On se dit que si Dieu en à décider ainsi alors il fallait s'y soumettre.

Heureusement pour moi, ma mère ne crois pas en Dieu ! Elle c'est qu'elle seule est maitre de sa vie.

Je m'appelle Elisa, Elisa Morel. Et ma mère c'est Sophia Morel, la femme la plus courageuse et la plus forte au monde. Mon père s'appelle Martin Morel, c'est un grand zoologue, il a arrêter ses recherches à l'étranger par amour pour ma mère. C'est incroyable de voir que leur amour les unis depuis maintenant plus de 20 ans ! 

Je suis une fille heureuse avec des problèmes de filles de mon âge, les garçons, les etudes, tout ça, tout ça ... Et une soeur aussi, vraiment casse pied, mais ça c'est normal. Ma vie n'est pas des plus palpitante, quoique, en prépa c'est tellement la pression sur les notes qu'on a l'impression de faire des montagne russes tout les jours. Dommage que dans notre cas ce soit le stresse des exam qui facent battre notre coeur. Mais bon on s'accroche on est tous solidaire, et surtout on est tous dans la même merde. Heureusement que ça ne dure que deux ans parce que sinon j'aurai déjà abandonné !

J'ai failli oublié de vous presenter les personnes qui compte le plus pour moi, qu'elle idiote. Même si ms parents sont très important pour moi, il faut qu'en même dire que je vais bientôt avoir 19ans. Donc il y a Alix, mon amis d'enfance, vu qu'on n'est plus dans le même etablissement depuis le collège on ne se vois plus beaucoup, mais on ne sais jamais vraiment oublié. Quand l'une a des problèmes, elle sais qu'elle peut toujours compter sur l'autre, même quand ses propres amis lui tourne le dos. Ensuite, il y a Valentine. Valentine et moi on c'est rencontré il y a peu, quand on est rentré en prépa. C'est avec elle qu je partage ma chambre a l'internat. On c'est très vite lié d'amitié, et même si Alix est vraiment une amis en or en ne peux pas comprendre ce que c'est que la prépa, alors que Valentine, oui. Elle comprend tout à fait, ne vous inquièter pas. D'ailleurs, elle est dans le même cas. contrairement à moi Alix n'est pas très doué pour l'école et elle doit maintenant redoublé sa terminale. Dans ce cas je ne peux pas l'aider parce que je sais que je l'a vexerai, mais elle a d'autre amis pour l'aider. Le plus important c'est qu'aucune d'entre nous n'oublie que l'autre sera toujours là pour la soutenir. Enfin, il y a mon copain. Le garçon qui a volé mon coeur et à piquer la curiosité de mes parents. Il s'apelle Antoine, et c'est le garçon le plus adorable et le plus parfait que j'ai jamais connu. Il est a l'écoute, toujours la pour me soutenir et même si on sort pas ensemble depuis longtemps j'ai déjà l'impression de le connaitre par coeur. On ne peut pas dire que je suis une fille facile, il aura fallu du temps mais j'ai fini par céder. Ca va bientôt faire 2 mois qu'on sort ensemble. Je n'ai jamais été aussi heureuse. Malgré le stress des études je me sens soutenu par tout ces merveilleuses personne qui m'entoure et j'avance vers une vie pleine de belles promesses.

Après bient sûr il y a toujours quelques dispute, quelques problème mais je les considère comme assez anodins face au bonheur qui m'entoure. Ce petit point noir dans ma vie, c'est mon oncle, ou plus exactement mon parrain.Notre famille est plutôt soudé et unis, mais lui, il c'est éloigné de nous. Personne ne sais vraiment pourquoi. Tout ce que je sais c'est que ma mère se sent coupable, comme si elle était responsable de la distance qu'il y a à présent entre mon père et son frère. J'ai toujours pensé que c'était a cause de son premièr enfant mort né. Mais je ne voit pas pourquoi il lui en voudrait pour ça.

Enfin, bref, ce n'est pas grand choses juste une vieille histoire dont il doit leur garder rancune, ça ne me conserne pas, alors je n'ai pas a poser de question.

Si seulement il n'y avait que ça pour gacher ma vie, alors elle serai lus que parfaite.Quand nous étions plus jeune, nos professeurs n'arrêtaient pas de nous rabacher " Soyer heureux de pouvoir faire des études" "vous avez de la chance d'etre né Français" "Vous avez de la chance d'être libre" ... Disons plutôt que nous "avions" de la chance... Le regime, n'a pas changé, nous sommes toujours une République. La criminalité n'a pas augmenter, c'est même plutôt le contraire. Rien ne menace l'ordre public... enfin... rien d'humains...

 

 

13 février 2018

A mes lecteurs

Chers lecteurs,

Je dois avouer que j'ai été surprise de voir que certain d'entre vous revenais pour lire, je suppose, les textes que j'écrivais. Je suis très touché, je dois l'admettre. Alors je m'excuse auprès de ses quelques personnes, il est vrai que je n'écrit pas de façon régulière, que les textes sont bourré de fautes d'orthographe et d'oubli. Néanmoins si vous n'etes toujours pas lassés de lire ces textes déprmant et pas très réalistes je dois l'admètre, j'aimerais que vous me donniez votre avis, en commentaire ou en notant mes différents textes.

Merci encore,

AméliaFly

11 février 2018

Emilie Pankerston (1)

Bonjour, je m'appelle Iris Klein, j'ai 26 ans et aujourd'hui j'amerais vous raconter l'histoire d'une jeune fille que j'ai connu : 

C'était donc une jeune fille, trés appréciable et très apprécié. Elle vivait en France, dans la ville de Strasbourg. Un jour, elle part en voyage au Etats Unis avec ses parents. Elle est un peu stréssé et pas très alaise, c'est la première fois qu'elle va quitter la France et elle à 12 ans.

Le voyage se passe bien,mais une fois arrivés à San Francisco ils apprenent qu'ils y a eu une erreur dans la reservation de leurs hotel et se retrouve logé à San José, au sud de San Francisco. Le voyage tourne légèrement au désastre mais alors qu'ils s'installe tous ensemble à table et tente de se rassuré les uns les autres que les choses vont s'améliorer ils ne se doute pas que les choses sont loin de s'arranger. Soudain Cinq homme armés jusqu'aux dents entre dans l'appartement en fracassant la porte, ses parents sont tué sous ses yeux et son petit frère qu'elle tentait de protéger est embarqué. Mais il n'ont pas passés la porte d'entrer qu'il se met à crier, il l'abattent sur le champs d'une balle dans la tête. Elle veut couriir vers lui mais l'un des hommes l'en empèche et avant qu'elle ne commence à crier et se fait assomer.

Ce sont les pires vacances de sa vie. Elle aurait tant voulu restée en France. 

Elle n'en avait peu être pas l'air, mais elle n'était pas stupide. Elle se doutait bien de ce comment elle allait finir, on ne sauve pas une jeune fille de sa propre descente sans avoir de bonne raison. Les Hells Angels ne lui rende pas la vie facile en effet, elle sert de jouet sexuel aux junky du club et est surveillé par l'un d'entre eux h24. Cela dure plusieurs mois. De plus en plus, elle finit par croire à leurs ideaux, l'enfer est bien sur terre, mais hors de question d'esayer d'y echapper grâce aux stupéfiant, selon elle ils sont les seules resposable de son malheur. Mais elle s'est très bien que s'opposé à eux ne peut rien lui apporté de bon. Trop trouillarde pour s'enfuir, elle réussi à se faire accepter par le club comme membre, elle fait preuve d'un certain talent avec un fusil sniper entre les mains et devient tuer à gage pour le compte du club. Qui irait soupsonner de meurtre une jeune fille comme elle. Elle a alors 13 ans et sert toujours de jouet sexuel aux memebres du club.

Un jour, elle rencontre dans un ast food du centre un jeune garçon. Il s'appelle Ralph Jenkins et vient de perdre son père. Elle prend alor sconcsince que ce qui lui à permis de surmonter son deuil c'est son instinct de survit, elle avait bien mieux à faire que de se morfondre sur la mort de ses parents. Cela se fait naturellement et elle finit par devenir ami avec Ralph. Alors qu'elle venait enfin de trouver un peu d'amour dans cet enfer, elle recoit une nouvelle mission de la part du patron. Elle doit tuer un groupe de six personnes, une unité d'élite de la police Californienne. Face à cette mission particulièrement importante et difficile elle reussit à obtenir une delai plus long pour pouvoir echaffauder un plan pour les tuer. Habituellement, elle repère le suspect en milieu d'après midi et le suis jusqu'à se qu'il aille se coucher. Ensuite elle repère une fenêtre d'où elle pourrat opérer, va récupérer son arme et à son reveil la victime en abattu d'une balle en pleine tête. Mais face à cette nouvelle mission, elle était légèrement plus septique face à ces chances de réussite. Un groupe de six personnes, pour bien faire il lui faudrait trouvé un endroit où ils serait tous réunis en même temps. Mais ce qui l'embêtait le plus c'était qu'ils s'agissait de membres de la police. Habituellement, elle avait pour cible des ennemis du club mais tous était des malfrats et elle surmontait toujours cette épreuve en se disant que cela en ferait un de moins, et sans penser à ce que leurs morts pouvaient engendré comme crime de la part des Hells Angels. Mais ce qui la dissuada encore plus de tuer ses personne fut d'apprendre que l'une d'entre eux était la mère de Ralph. Perdre son père et sa mère, pour un jeune garçon aussi innocent cela serait un terrible choc. Le jour où elle l'appris, elle appris par la même occasion que l'unité de sa mère allait partir en vacances dans un chalet reculé. Elle avait à présent un plan d'attaque mais elle ne savait pas si au moment fatidique elle serait capable d'appuyer sur la détente. Elle avait fini par prendre du retard sur sa mission à force d'hésiter et le patron était très loin d'apprécier, elle sentit très nettement passer sa punition mais promis d'accomplir sa mission et lui expliqua les informations qu'elle avait pu obtenir.

Elle se rendit finalement au chalet pendant les vacances organisées de l'unité d'élite qu'elle devait abattre. Une rande baie vitrée donnait une vue d'ensemble sur le salon et la salle à manger elle n'avait plus qu'à attendre qu'ils soit tous installés à table pour pouvoir passée à l'action. Tout le monde était assis à table ne manquait plus que Ben Wright et chef de l'équipe et Abigaëlle Jenkins, la mère de Ralph. Ralph était lui déjà installé à table, elle s'éatit placé de façon à le tuer en prmier de cette façon la dernière chose qu'il verra sera surement le sourir de sa mère plutôt que son corps inerte. Wright et Jenkins firent enfin irruption de la cuisine, Wright apportant une giganteste marmitte et Jenkins les condiments. Ils s'approchèrent de la table et y posèrent les différents plats avant de s'asseoir à table à leurs tour. Ca y est. Le moment était venu. Elle se mit en position. Attenda quelques minutes que tout le monde soit servit pour être sur que Jenkins ou un autres ne se relève pour allez chercher qulque condiment oublié dans la cuisine. Mais cela n'arrivat pas. Ils était tous assis là-bas. Elle regardat au travers de sa lunette. Ils riaient tous de si bon coeur. Elle visa minutieusement avec son fusil la tête de sa première victime. Personne ne la voyait, elle aurait presque aimé se faire prendre. Elle respirat profondemment et posa delicatement son doigt sur la gachette.

 

A suivre ...

 

 

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Amelia Fly
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