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Amelia Fly
13 mars 2019

La Nouvelle Médecine

L'histoire que je vais vous raconter, c'est l'histoire d'une petite fille que j'ai rencontrée il y a quelques années de cela. Et que malheureusement j'ai rencontrée bien trop tard. Elle s'appellait Emilie. Mais puisque je dois vous raconter son histoire, autant commencer par le commencement.

Avant de commencer, je vais quand même me présenter. Je m'appelle Anaëlle Lambert et je suis enseignante chercheuse en biologie. Vous allez sans doute trouver ça stupide mais au début je voulais devenir chirurgienne ou neurologue parce que dans ma famille ont était particulièrement touché par les maladies neurologique. Mais je me suis très vite rendu compte que j'était hémophobe, et ça quand on veut devenir chirurgien ça ne pardonne pas. Finalement, je me suis orientée vers la recherche. Pour rester dans la même voie je voulais étudier et développer des vaccins, mais ça c'est avérer plus difficiles que prévu. Pour finir, je me suis retrouver dans la cosmétisque, c'est à dire bien loin de mon projet de départ. Mais bon l'important c'est de faire quelque chose que l'on aime.

Ne vous inquièté pas, je n'ai pas oublié la petite Emilie. Mais, en réalité, cette histoire commence bien avant la naissance d'Emilie. Quand j'étais encore jeune et passionnée par la médecine, je suivais de près les dernières actualités en matière de vaccins. Il y avait un homme dons les travaux me facsinaient, le docteur Leopold Duval. C'était un imminent chercheur à l'institut Pasteur qui avait déjà trouvés plusieurs vaccins pour des maladies mortelles telle que la nouvelle fièvre jaune apparu dans les années 2040. Malheureusement, aujourd'hui les hommes aussi brillant que lui se font rare. Grâce aux nouvelles technologie, les robots ont pris la place des médecins. Seule certaines opérations ne peuvent pas encore pratiquer par ces robots, c'est pour ça que les études de médecine sont devenues si difficiles. On ne peut pas dire que cela enchante tout le monde, ce nouveau type de médecine est un sujet très controverser. Un exemple très simple, si le robot se base sur des probabilités alors si il y a une complication lors d'une opération il choisira de sauver le patient même si celui-ci ne pourra survivre que quelques jours de plus plutôt que de prendre quelques risques pour le sauver. Mais bien sur les défenseurs des robots médecins passe leur temps à nous rabacher que de toutes façon une tel situation ne peut pas arriver puisque l'état de santé de tout le monde est suivi en permanence grâce à leurs puces.

Vous l'aurez compris, je suis contre cette nouvelle médecine qui met la précieuse vie des hommes entre les mains robotiques de ses programmes informatique. C'est triste, mais aujourd'hui on ne vie plus que pour vivre, chaque choses est pointé comme pouvant apporter la mort. Les gens vivent dans la peur permanente de la mort. Même si l'on peut y voir quelques avantages, comme l'arrêt de la circulation d'armes à feu au Etats-Unis, ou la baisse considérable de consommation de drogues dans le monde. Pour moi, on vivait plus heureux avant.

A cause de cette nouvelle mentalité, les chercheur comme le docteur Duval était souvent assaillit par les journalistes, comme s'il s'agissait de la reine d'Angleterre. On peut comprendre que cela avait le don de les énerver, et par conséquent il fesait très peu de conférence ou autre meeting. Je vous laisse imaginé la galère pour obtenir une place dans l'amphithéatre. Ca fesait déjà longtemps que j'avais abandonner la médecine, mais j'était toujours autant passionnée par les travaux du Docteur Duval, alors quand j'ai enfin eu l'occasion de participer à l'une de ses conférences sur son nouveau vaccin, j'ai sauté sur l'occassion et je n'ai pas hésiter à y mettre plusieurs centaines.

C'était un moment magique d'enfin rencontrer ce génie de la biologie, mais j'ai très vite déchanter avec tout les journalistes autour de moi. Le Docteur Duval n'avait pas l'air heureux d'être là non plus. En même temps, si il fait ça c'est juste pour obtenir des financement pour ses recherches, ça peut paraitre égoïste mais franchement je le comprend, c'est fou ce qu'ils sont oppressant ses journalistes. Au final, je n'ai poser aucune question, et dieu sais que j'en avais, mais je les journalistes étaient vraiment insupportables et j'ai fini par quitter la salle un peu déçu. Avant de partir, j'ai jetée un dernier coup d'oeil vers le Docteur Duval, il n'écoutait même pas les questions des journalistes et continuait tranquillement son spitch. J'ai levée le poing en l'air pour lui souhaiter bonne chance, il ne m'a surement pas vu mais peu importe, la prochaine fois je me contenterais de le suivre sur internet.

Depuis j'ai commencé travailler, j'ai créer quelques soins qui ne revolutionnerons surment pas le monde, mais je m'amuse. J'essaye tout de même de défendre mes idées sur la nouvelle médecine, même si la plupart du temps c'est comme parler à des sourds, et le plus souvent ça plomb l'ambiance. On ne peut pas dire que je me soit fait beaucoup d'amis vu que du coup je refuse tout les soins proposer par la nouvelle médecine je passe pour un virus ambulant.

Depuis la conférence, le Docteur Duval ne démérite pas, mais tout le monde le détestent parce qu'il ne veut plus partager le produit de ses recherches avec le reste du monde. Seul quelques privilégier sur leur lit de mort peuvent espérer avoir accès au soin du Docteur Duval.

Peut être que certain d'être vous ont des doutes et des préjugés concernant le Docteur Duval, mais je peux vous assurer que quoique les gens lui fasse subir il n'aurait jamais abandonner une vie humaine qu'il savait pouvoir soigner.

Peut à peut on n'a plus entendu parler du Docteur Duval. D'autre médecin ont pris ça place sur le devant de la scène médicale. Il y a eu quelques bon médecins parmi eux, mais bon ils jouaient tous le jeux des médias et finissaient par faire plus de publicité que de recherche. C'est surement à ce moment là que je me suis completement désinteresser de la médecine.

Et puis un jour ... le 19 mai 2046, pour être exacte, un évènement des plus déconcertant c'est produit. Ce samedi là, à Lyon, un jeune garçon d'une quinzaine d'année est mort. La nouvelle médecine garantissait à tous un vie longue et prospère, mais ce jeune homme est mort. Tout les médecins affirme qu'il n'était atteint d'aucune maladie, qu'il n'avait pris aucune substance, rien. Et pourtant, ce matin là, il était tombé raide mort en plein milieu de la rue alors qu'il sortait avec ses amis. La nouvelle à fait le tour du monde, la nouvelle médecine venait d'être grandement remise en cause. Mais personne, pas même moi n'était enchanté à cette idée. Si il existait un nouveau virus encore indétectable qui pouvait nous tuer sans prévenir, alors tout le monde allait très vite sédez à la panique.

Personne ne savait quoi faire, les gens n'allait plus au travail, ne mangeait presque plus et restait cloitré chez eux. Les médecins fesait des recherches, par tout on voyait des robots et des hommes en combinaison anti-contamination se balader dans la rue pour récolter des échantillons. Des quartier entier avait été évacué alors que personne ne savait vraiment qu'elle zone était contaminée. Alors j'ai fait comme la plupart des gens et je suis parti. Le problème c'est que pour chercher un logement après c'est difficiles. dès que tu dit que tu viens de Lyon, on a peur de toi et on te claque la porte au nez. On se regroupait en camps, tel des réfugiés dans leurs propre pays.

Heureusement pour moi, j'ai appris après une semaine passez dans la rue, que des amis à moi avait un chalet dans la montagne, on s'entassait déjà à dix mais on était tous de Lyon donc on se serrait les coudes. J'ai eu quelques difficultés à rejoindre le chalet. Il était perdu au milieu d'une forêt au bout d'une petite route après la dernière station de ski. C'est ici, que je l'ai rencontré pour la première fois. Je venais d'arriver à la station de ski et je m'appretais a prendre la petite route avec ma valise, quand je l'ai vu. La nuit commençait a tombé, elle était debout sur le bord du trottoir, toute seule. Ce qui m'étonnait le plus c'est qu'elle était habillé de la tête aux pieds, pas un seul petit bout de peau ne dépassait. Il ne fesait pourtant pas si froid ? D'accord, nous étions en haute montagne, mais c'était l'été tout de même.

Je me suis approché d'elle, je voulais m'assurer que tout allait bien, après tout elle était seule. Elle était très calme. Quand je lui ai adressé la parole elle s'est calmement tourné vers moi et a poussé son écharpe pour que je puisse voir son visage. Elle m'a dit qu'elle attendait son papa, qu'il était parti en vacances dans la montagne juste tout les deux, et que sa mère les rejoindrais bientôt. Sachant ce qui venait de se passer, je doute que c'est vacances n'est été planifié à l'avance, quant à la mère je ne savait pas trop quoi en penser. J'ai discuté quelques instants avec la petite Emilie en attendant que son père ne revienne. J'ai vite compris qu'entre ses parents se n'était pas le bonheur fou. Peut être ne reverra-t-elle jamais sa mère, mais je préfère ne pas m'en mêler, son père sera surement très bien lui dire les choses. Même si ce n'est pas très responsable de sa part de laissé sa fille seule dehors alors que la nuit tombe. Emilie n'est jamais allée à l'école, son père s'inquietait beaucoup pour sa santé et la laissait pas souvent sortir. Néanmoins elle avait beaucoup d'animaux de compagnie et un très grand jardin, donc elle ne s'ennuyait jamais. Et puis de nos jours les enfants savent déjà très bien utiliser internet, et parmi les partisans de la nouvelle médecine, certains avait telement peur de la mort qui soit disant les guétait dehors qu'il ne laissait pas leur enfants sortir de la maison. Enfin tout de même c'est un peu extrême. Quoiqu'il en soit, je cromprend mieux l'enthousiasme d'Emilie, ce doit être la première fois qu'elle sort de chez elle.

Après ce fut à moi de lui raconter ma vie, au debut elle a eu l'air très ennuyée. Je ne pouvais pas lui en vouloir, vous en conviendrez, ma vie n'est pas très palpitante. Mais dès que j'ai commencé à lui parlé du Docteur Duval, son visage s'est illuminé. Tout naturellement je lui ai demandé si elle connaissait le docteur Duval, mais elle ne m'a pas répondu. Quelques minutes plus tard alors que la nuit était tombé, une jeune femme est venu chercher Emilie. J'ai d'abord cru que c'était sa mère, mais Emilie lui parlais plus comme à une tante. En effet ce n'était pas sa mère. Elle parti avec Emilie, en me remerciant de lui avoir tenu compagnie.

Finalement je n'ai pas passé plus d'une semaine dans le chalet. En ses temps difficiles pour la recherche, tout les scientifiques qui le voulait était invité à participer aux recherches. Même si les plus peureux restait caché, la plupart était mobilisé. Tout était analyser dans les moindres détails, y compris les produits cosmétiques, raison pour laquelle on m'avait rappelé sur Lyon en m'offrant un logement et une pension. J'était très étonnée qu'on en fasse autant pour la mort d'un seul garçon. Même si c'est un évènement tragique, des personnes meurent tout les jours. Dans le passé on n'en fesait pas autant quand on ne connaissait pas la cause du décès. Mais dès que je suis arrivée sur place, on m'a prise a part avec les autres chefs d'équipes pour nous mettre dans la confidence. On ne voulais pas que la nouvelle s'ébruite donc l'information était classé confidentielle, mais pour éviter les questions on avait choisi de prévenir les chefs des équipes de recherche de chaque domaine de recherche. Par conséquent, il avait choisi les chefs d'équipes plutôt pour leurs discrétion et leurs ouverture d'esprits que pour leurs capacité intellectuelles. Ce qui explique pourquoi j'avais été choisi. En réalité, le jeune garçon n'était pas la première victime de cet étrange virus. Une femme était morte de la même façon un mois plutôt, mais elle était alors chez elle, et l'histoire à pu être passé sous silence. Mais ce n'était pas tout. Comme je vous l'ai dit, après la mort du jeune garçon, beaucoup de gens sont rester cloitrés chez eux de peur d'attrapper ce nouveau virus. Vingt personne avait déjà été retrouver morte chez elle. Un nouveau programme avait été implanté dans les robots legistes qui, si la cause de la mort était indéterminée donnait un diagnostique bidon et envoyait directement le corps au équipe de recherche.

La nouvelle nous a tous beaucoup surpris. Mais il était indispensable de garder ça pour nous. Déjà que l'on manquait de personnel, il ne fallait pas les faire fuir. J'ai donc diriger mon équipe du mieux que j'ai pu, me fesant d'ailleurs époler par quelques collègue plus expérimenter, je délèguais souvent le travail, mais j'était la seule personne acceper aux réunions générales. Même si la plupart de mes collègues proche avait compris que l'ampleur de la situation était bien plus grande que ce qu'on les laissait voir.

Après plusieurs mois de recherche, on n'avait toujours rien trouvé. Les corps avait commencé a s'entasser en masse, et même si on n'en parlais nul par dans les journaux le monde entier savait que ce virus pouvait toucher n'importe lequel d'entre nous à n'importe quel moment. Les réunions générales se ressemblaient toutes : chaque équipe annonçait avec lassitude et désespoir qu'elle n'avait rien découvert, et on se passait les info des victimes de la semaine. On était déjà en novembre, cette année l'hiver était particulièrement froid, et alors que je sortais du batiment de recherche pour me rendre à la reunion générale, je repensa à la petite Emilie que j'avais rencontré au début de l'été. J'aurai du lui demander son nom de famille, si jamais son père ou sa tante est mort à cause de l'épidémie, la pauvre à du se retrouver toute seule. La reunion commença. Chacun fit son petit spitch habituel, puis l'on commença a passer les photos des victimes de la semaine. Ce n'était pas un moment très agréable, personne n'écoutait vraiment, on se sentait tous impuissant. Mais cet fois-ci, un nom à attirer mon attention. On avait prononcé le nom du Docteur Duval. Non bien sur ce n'était pas lui qui était mort, mais quelqu'un qui avait travailler pour lui, son assistante pour être exacte. Intriguer j'ai levée la tête pour voir le visage de la jeune femme. Elle ressemblais trait pour trait à la tante d'Emilie, mais non s'était bien elle. Intérompant le train-train quotidient je demanda si elle avait des enfants ou des frères et soeurs. Mais non, à part ses parents elle n'avait pas de famille. Ayant intriguer mes collègue je leur raconte ma rencontre avec la jeune Emilie, et le moment ou l'assistante vient la chercher. Un des médecin de l'assemblé me contredit, disant qu'il n'y a jamais eu de femme autre que son assistante dans l'entourage du Docteur Duval. Je ne pouvais pas trop renchérir, je ne connais rien de la vie privée du Docteur Duval, même si je doute que cet homme en sache beaucoup plus que moi, alors je me taît et les reunion poursuit son cours.

La semaine suivante, on apprend la mort du Docteur Leopold Duval. Malgrès cet horrible sentiment de fatalité, les recherches continues. J'ai été retrogradée. Puisque maintenant tout le monde sait, ma place en tant que chef d'équipe n'avait plus aucun sens. Un nouveau programme est lancé au sein de l'équipe de recherche, le programme Vacances. Chacun à leur tour, chaque scientifique de chaque équipe est envoyé en vacances forcés pour réaliser nos dernières volonter avant la mort. Depuis, quelques temps déjà, des mort ont été constaté parmi l'équipe de recherche. Le virus se propage. Alors pour éviter qu'encore plus de personne n'abandonne, il nous offre ses vacances forcés. Le problème c'est que beaucoup ne reviennent pas. Je fut parmi l'un des dernier groupe à partir, enfin partir c'est un bien grand mots. On avait tout juste assez d'argent pour vivre et l'Etat ne pouvait plus se permettre aucune dépense.

La ville était complètement morte. A Lyon, 30% de la population avait été victime du virus. 5% de la population en Europe. Et au total, plus de 10% de la population mondiale. Personne n'était à l'abri.

Ne sachant pas vraiment où allé, je décide d'aller en montagne. Alors j'embarque quelques affaires et assez de baterrie pour faire l'aller-retour en voiture. Même si au fond de moi je ne sais même pas si je reviendrai. Je me suis retrouvée à la même station de ski que la fois où j'ai rencontré Emilie. La station était abandonnée. Le primtemps pointait à nouveau le bout de son nez, alors je decida d'aller marcher un peu.

J'arriva su un plateau. Le soleil brillait, il était presque midi. Les fleurs étaient magnifiques, le vent dans mes cheveux, le soleil sur ma peau. Pour la première fois depuis longtemps j'avais l'impression de vivre. Je m'allonga dans l'herbe et fit une petite sieste.

Je fut reveillée quelque temps plus tard par un cerf qui passait par là et qui avait commencé à me lécher la jambe. Mais en me redressant je le fit fuir. C'est alors que je pensa à quelque chose : les animaux étaient-ils touché par le fameux virus. Pris de cet éclair de génie, je rentre à la station et appelle le centre de recherche. Depuis le début on recherche un facteur externe, quelque chose qui nous a rendu "malade" mais si ce virus était déjà dans notre organisme, comme inactivé. Si les animaux ne reagisse à aucune de nos expérience c'est par ce que le virus se retrouve chez l'homme uniquement.

Peu convaincu par mes nouvelles idées, on me raccroche au nez, soit disant on y avait déjà pensé. C'est probable en effet, mais alors pourquoi avons nous continué les test sur les animaux. Désespérer, je regarde par le fenêtre de mon studio - ou devrait-je dire mon squat. On peut voir l'arrêt de bus ou j'ai rencontré Emilie. C'est fou, j'ai tellement envie de la revoir pour être sur qu'elle va bien, que j'ai l'impression de la voir encore a côté de l'arrêt de bus.

Mais si ! C'est elle ! Je ne sais toujours pas trpo si ce que j'ai vu était réel mais je suis persuader d'avoir vu la petite Emilie debout a côté de l'arrêt de bus. Mais quand j'arrive sur place, personne. C'était donc un rêve... "Madame Lambert ?", suprise je fais volte face. C'était bien la petite Emilie !

J'était si heureuse de la revoir. Je pense qu'elle n'a pas très bien compris ma réaction (et moi non plus d'ailleurs) mais tant pis. Je l'ai ramené dans mon studio. Nous avons mangé et comme il se fesait tard nous sommes tout de suite allez nous coucher.

 A suivre ...

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Amelia Fly
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