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Amelia Fly
26 mai 2017

La Boum

La musique envahissait tout le gymnase. Les projecteurs envoyait leurs lumière phosphorencentes dans tout les sens.

Elle dansait à la folie et sefoutait complètement d'être ridicule, elle voulait s'amuser, ne plus réflechir et agir selon le regard des autres. C'est ce qu'elle lui avait dit du moins. Alors elle se déchaine. Surtout avec un père comme le sienqui voulait qu'elle suive la même route que lui ; elle avait du affrontter son regard et sa critique pour affirmer son opinion et ses rêves face à lui.

Mais peu lui important, pour l'instant elle voulait danser et rire comme elle ne l'avait jamais fait, la réalité la rattraperais bien assez vite. Elle était merveilleuse ce soir. Il arrêtat son regard sur sa bouche et se rappella avec plaisir les doux comme les plus passionné baiser qu'ils s'étaient donnés. Ces cheveux magnifiquement coiffé en boucle brune tombaient sur ses épaules, il n'avait jamais eu autant envie de les carresser et de sentir la douce odeur de fleur de son shamppoing, tellement plus agréable à ses yeux que ses horribles parfums qu'on sentais à longueur de journée sur toute ses filles si banales que l'on pouvait croiser dans la rue. Son visage déjà si parfait était coloré par quelque fard à paupière. Elle n'en mettait que très rarement mais selon lui cela ne rajoutais rien à la beauté et à la perfection de son visage. Ses yeux marron chocolat devenait, lorsque la colère s'emparait d'elle, d'un noir intense auquel il ne pouvais pas résister. Ses yeux brillaient comme mille étoiles qui c'était allumé à chacun de ses merveilleux moment de bonheur passé ensemble.

Ce soir là, elle était d'une beauté incomparable à celle des plus belles princesses de notre enfance. Elle portais une robe rouge tirant un peu sur le rose. Elle s'arrêtait au milieu des cuisses et était un peu bouffante grâce à plusieurs jupon de tule blanche. Sa petite poitrine était vêtu d'un bustierdécoré de rubans s'entrecroisant, l'un d'entre eux sortais du bustier pour venir recouvrir sa douce épaule. Ces belles jambes, si douce dans son souvenir etaient fine mais fore comme il les aimaient. Ces petits pieds, étaient d'ordinaires toujours glacé, mais il prenait toujours plaisir à les réchauffer alors qu'elle se blotissait tout contre lui. Et cela lui apportais plus de bonheur qu'ile pouvai l'imaginer.

Lorsqu'il était malade, elle était la seule qui ne respectait pas son intimité et venait à son chevet alors qu'il envoyait balader tous se amis. Mêmesi la plupart du temps après son passage ils finissait tous par pouvoir venir. Alors que lorsque c'était elle qui était malade, elle acceptais de voir tout le monde mais que personne ne venait. Ses amies l'appellaient mais pas plus, tout le monde savait qu'elle survivrait. Elle ne s'en plaignait pas, mais elle était toujours ravide le voir accourir à son chevet pour la reconforter et lui tenir compagnie.

Il se souvenait de leurs calin, de leurs nuits, de leurs carresses, de leurs batailles de chatouille, de tout les films qu'ils avaient partagé, et de touts les repas aussi. Les moments genant et les plusgrosses rigolade, des patisseries qu'elle lui préparait, de leurs merveilleuse relation...

La musique s'arrêta et elle se stopa dans sa danse. Un garçon était monté sur l'estrade et avait pris le micro : il commença à faire un discours digne du meilleur de sa promo pour remercier les professeurs et bla bla bla ... Mais Enzo n'y prêta aucune attention, il continuait de fixer sa belle. Elle quittait d'ailleurs la piste de danse dans sa direction, il en fut très surpris et se redressa pour paraître au mieux. Mais sa marche déviat et elle se retrouva devant le bar où elle commanda un soda.

 - Salut. lui lança-t-il pour qu'elle le remarque enfin

 - Hein ? Oh ! Salut Enzo. dit-elle.

 - Tu as l'air de bien t'amuser avec les filles. Enzo savait que la question était stupide il voulait juste essayé d'engager la conversation.

 - Oui, elles sont cool. Je choisi bien mes amies apparement. 

Yes ! pensa Enzo, elle ne ma pas encore remballé ! Mais une douloureuse pensé lui revient alors en tête et il ne pu s'empêché de retorquer :

 - Mais pas tes petits amis.

 - Ne dit pas ça ! dit-elle dans une tentative de la réconforter. 

 - Tu as beaucoup changé, tu sais, ça me fait bizarre? En faite , quand je te regarde, je te vois comme avant, je revois tout ce que nous avons vécu mais quand je te parle j'ai l'impression d'être avec un doublons défectueux ou un imposteur.

 - Je suis désolé. lui dit-elle avant de prendre le soda que lui apportais l'adulte en charge du bar.

 - Non , tu n'as pas à t'excuser, ce n'est pas de ta faute...

 - Tu ne comprend pas... Ce que je veux dire c'est que je n'agit plus selon le regard des autres, je n'écoute personne et j'agis comme bon me semble. Je ne ment plus parce que je sais que c'est à cause d'un mensonge que je suis tombé dans les escaliers, du coup maintenant ça me fait peur et je dit clairement ce que je pense.

 - Je ne comprend pas ou tu veux en venir ...

 - Quand nous avons repris notre relation, même si j'avais oublier tout de nous deux je n'ai pris aucun plaisir à sortir avec toi. Et vu que tu es le seul à dire que j'ai changé...

 - Attends ... Tu es entrain de me dire que tu pense ne jamais mavoir aimé !

 - En quelque sorte ... dit-elle timidement.

 Enzo était tellement surpris et choqué par cette nouvelle qu'il en restat bouche bée.

 - Mais alors tu ne pas plaquer juste pour faire une pause et retrouver tes souvenirs ! 

 - Non, pas du tout c'était une excuse, désolé mais je dois y aller les filles m'appelle.

 - Hein ?! Attends Julia ! il venait d'attrapper son bras pour l'empêcher de partir.

 - Ecoute Enzo, dit-elle calmement, je sais que tu es sous le choc mais sache que je t'apprécie énormément, je serai même ravi que l'on reste amis, si tu crois que c'est possible pour toi.

 - Mais attend ! Tu es sur que tes sentimens pour moi ne vont pas revenir avec le temps, un peu comme tes souvenirs. tenta Enzo dans un veine espoir.

 - Je ne pense pas mais si tu veux attendre je ne pourrais pas t'en empêcher. Je veux juste que tu n'est pas de faux espoirs et que tu attende toute ta vie une fille qui ne t'a peut être jamais aimé. 

Enzo était tellement choqué qu'il ne su quoi répondre.

 - Bon je te laisse il faut vraiment que j'y aille. Salut ! et elle retourna dans la foule de ses amies, le laissant seul.

 

FIN

Petit Message à mes lecteurs : Et voici, mes cher lecteur un première histoire sans réelle fin. Je vous laisse donc imaginer ce que ressent Enzo à la fin de cette histoire. Et si vous avez des suggestion je suis preneuse , je manque toujours d'imagination à la fin de l'histoire.

AmeliaFly 

 

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